Dans le contexte actuel de hausse des prix de l’énergie, la consommation énergétique des bâtiments publics entraîne un coût important qu’il est possible de réduire en mettant en œuvre les actions adéquates. De plus, le décret tertiaire, entré en vigueur en 2019, impose la réduction de la consommation énergétique des bâtiments à usage tertiaire de plus de 1 000 m2 en France. Des objectifs précis de réduction des consommations ont été fixés par décennie : 40 % en 2030, 50 % en 2040 et 60 % en 2050.
Selon une enquête Harris Interactive pour Hellio, réalisée en ligne du 25 au 29 octobre 2019 auprès d’un échantillon de 1 025 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus, 9 répondants sur 10 estiment que les collectivités territoriales (communes, intercommunalités, départements et régions) doivent jouer un rôle important dans la transition écologique.
Pour répondre à ce défi, la rénovation énergétique des bâtiments publics fait partie des actions prioritaires attendues par la population.
Cette rénovation, en plus d’être un enjeu écologique, représente également une source d’économie importante pour les collectivités : 76 % de la consommation d’énergie d’une commune provient de ses bâtiments, construits pour la plupart avant 1975.
Toutefois, rénover le bâti a un coût et le budget alloué aux collectivités, notamment aux petites communes, n’est pas toujours suffisant pour engager des travaux de qualité.
En mobilisant le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE collectivités) pour financer les travaux, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l’énergie depuis 2008, accompagne le secteur public dans le financement de la réduction de sa consommation d’énergie et l’optimisation des performances énergétiques des sites et équipements de production.
900 millions de m2C’est la surface du parc tertiaire en |
+ 1/3des émissions de gaz à effet de serre et de la consommation d’énergie nationale proviennent des bâtiments tertiaires. |
60%C’est l’objectif de réduction de la consommation d’énergie finale en 2050 (40 % en 2030 et 50 % en 2040). Le décret tertiaire, paru en 2019, oblige à communiquer la baisse de consommation de tout bâtiment à usage tertiaire de plus de 1 000 m² auprès des pouvoirs publics.
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Les objectifs nationauxne pourront être atteints que si les acteurs du secteur public, notamment les collectivités locales, agissent à leur échelle.
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Hellio déploie des solutions sur-mesure destinées au secteur public à travers son pôle dédié. Grâce à la complémentarité et la synergie des métiers développés au sein de ses équipes, Hellio accompagne étape par étape les collectivités : de l’audit énergétique jusqu’à l’optimisation des performances énergétiques de leurs bâtiments, en passant par de l’assistance à Maîtrise d’Ouvrage et de la maîtrise d’œuvre.
Et tout au long de l’accompagnement, un envoi régulier de suivis des opérations et d’analyses des actualités réglementaires des CEE est réalisé par les équipes de Hellio.
Hellio déploie également des offres multi-sectorielles complémentaires pour l’accompagnement des personnes morales privées du territoire : industriels, artisans, agriculteurs, hôteliers, commerçants, etc. (cf. retour d’expérience du PETR du Perche en annexe).
Akéa Énergies : le bureau d’études intégré de HellioAkéa Énergies est un bureau d’études spécialisé dans la performance énergétique et l’ingénierie technique. S’appuyant sur 18 ans d’expérience, il offre un accompagnement global et personnalisé, de l’émergence des projets au suivi des performances effectives. Il se compose de 17 ingénieurs énergéticiens et 5 techniciens supérieurs répartis au sein de 3 agences (Paris, Bordeaux et Poitiers) et dispose de toutes les qualifications nécessaires : RGE (AFAQ qualification), OPOIBI et CMVP. |
Avec plus de 200 collaborateurs et 12 ans d’expérience, Hellio est devenu le premier producteur de CEE indépendant.
Sur les quelque 207 opérations éligibles au dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE), les principales pour le secteur public sont :
En complément des travaux de rénovation énergétique, le Contrat de Performance Énergétique (CPE), conclu entre le maître d’ouvrage (le bénéficiaire des travaux) et un opérateur (l’entreprise qui réalise les travaux et/ou la maintenance), peut s’avérer efficace. Il fixe un objectif d’efficacité énergétique sur une durée déterminée, une fois la ou les opérations réalisées. L’opérateur s’engage, avant l’opération en question, à atteindre un objectif mesurable d’amélioration de l’efficacité énergétique.
Une garantie pour le maître d’ouvrage que les économies d’énergie seront bien au rendez-vous. En cas de non-conformité entre les résultats annoncés et la performance énergétique réelle constatée après les travaux, des pénalités sont prévues pour l’opérateur.
Autre avantage du CPE, et non des moindres : il induit une bonification de la prime réduisant ainsi le reste à charge du coût de l’opération. En revanche, à partir de janvier 2022, cette bonification ne sera plus possible pour l’éclairage public.
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Lorsqu’un CPE est mis en place et qu’il respecte certains critères, la prime CEE est bonifiée. Le montant initial est multiplié par un coefficient qui dépend de l’économie d’énergie garantie par le CPE et de la durée du CPE.
La prime CEE est multipliée par 2,5 pour un site à usage tertiaire ou résidentiel, et 1,55 pour les autres secteurs.
Hellio travaille aux côtés de multiples acteurs, à plusieurs échelles : agriculteurs, constructeurs, installateurs... Conscients du fonctionnement spécifique de chaque acteur, le groupe met un point d’honneur à cerner le besoin de chacun afin d’y répondre au mieux. Hellio optimise les consommations énergétiques des sites industriels, tertiaires et agricoles sur les plans techniques et financiers, grâce à une compréhension globale de leurs besoins et enjeux.
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Placez votre collectivité au coeur de la transition énergétique avec Hellio